Un mystère plane autour de la prétendue fracture des chevilles du monsieur Défense des députés macronistes pendant un saut en parachute avec un commando. Vrai ou faux ? Laissez-nous vous dévoiler la vérité derrière cette incroyable histoire !
Le déroulement de l’incident
Thomas Gassilloud, député de la 10e circonscription du Rhône et président de la commission Défense, a récemment été victime d’un accident de parachute. Lors d’un exercice avec les forces spéciales de l’armée de l’air le 25 mai sur la base d’Orléans, il s’est fracturé les deux chevilles après une mauvaise réception à 3500 mètres d’altitude.
Le contexte de l’exercice
Le saut en parachute faisait partie d’un exercice d’«infiltration sous voile». Ce type d’entraînement consiste à sauter à haute altitude et à se laisser dériver sur plusieurs kilomètres porté par la force du vent. Gassilloud, en tant que président de la commission Défense, participe régulièrement à ces «embarquements» pour évaluer l’action des militaires en conditions réelles.
La mission parlementaire
Thomas Gassilloud est accrédité confidentiel défense et a été rapporteur du budget de l’armée de terre. Sa présence sur le terrain est pour lui une manière d’évaluer et de vérifier la bonne exécution de la loi de programmation militaire. Ces interactions régulières avec les forces armées permettent de maintenir un dialogue politico-militaire essentiel pour comprendre le quotidien des militaires.
Réactions et conséquences
Malgré ses blessures, le député a tenu à se rendre aux commémorations du Débarquement en Normandie le 6 juin, utilisant béquilles et bottes orthopédiques pour ses déplacements. «Rien de grave, je suis en vie», a-t-il plaisanté au téléphone avant de prendre le train.
Un bilan mitigé
Les «embarquements» sont indispensables pour les parlementaires souhaitant évaluer concrètement l’état des forces armées, mais cet incident rappelle les risques inhérents à ce genre d’exercices. Les membres de la commission Défense, comme Gassilloud, continueront probablement ces immersions, malgré les dangers potentiels.
La vérité derrière l’accident
Aucune raison de douter de la véracité de l’incident. Le député a confirmé les faits et sa participation à l’exercice. Ces activités font partie intégrante de son rôle de président de commission afin d’avoir une compréhension directe et pragmatique de la réalité militaire.
Source: www.lefigaro.fr